Dans le cadre de la semaine de contrôle de l’action du gouvernement, je suis intervenu sur la pénurie de médicaments.
Ce n’est pas un phénomène récent et qui ne date pas de la guerre en Ukraine, mais il s’est accentué ces dernières années : nous sommes passés de 600 signalements en 2016 à 3 500 l’an dernier.
La situation est inquiétante et fragilise notre système de santé.
Au regard de cette urgence, nous demandons un service public du médicament : il faut sortir de la logique de marchandisation des médicaments et remettre les besoins et la sécurité des patients au cœur de la production et de l’approvisionnement des médicaments.